Pourquoi rénover un bien avec une SCI peut être un bon plan

Acheter un bien immobilier à rénover peut être une super opportunité, surtout si vous comptez le faire à plusieurs. C’est là qu’une Société Civile Immobilière (SCI) peut vraiment faire la différence. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle permet de répartir les coûts, de mieux gérer les travaux et de bénéficier d’avantages fiscaux non négligeables.

Premièrement, la SCI facilite l’achat collectif. Que vous soyez en famille ou entre amis, chacun peut investir à hauteur de ses moyens, sous forme de parts sociales. Cela permet de mutualiser les ressources pour acquérir un bien qui, seul, serait peut-être inaccessible. Et pour les travaux, c’est la même logique : les coûts sont répartis selon les parts de chacun. Plus besoin de débattre à chaque facture, tout est clair dès le départ.

Ensuite, la SCI permet de rendre les dépenses de rénovation plus intéressantes fiscalement. Si vous louez le bien après les travaux, les frais engagés pour rénover – qu’il s’agisse des matériaux, des artisans ou même des intérêts d’un prêt – peuvent être déduits des revenus locatifs. Résultat : vos impôts sont allégés et vous valorisez un bien qui, à terme, prendra de la valeur. C’est un double gain.

Côté gestion, la SCI a aussi des avantages. Plutôt que de vous retrouver dans une situation d’indivision où chaque décision peut virer au casse-tête, la SCI impose des règles claires dès le départ. Les décisions sont prises collectivement selon les modalités fixées dans les statuts, ce qui évite les blocages, notamment sur les choix de rénovation ou de financement.

Bien sûr, il y a quelques obligations à respecter. La tenue des comptes, les assemblées générales, et tout ce qui tourne autour de la gestion d’une société doivent être bien cadrés. Mais pour un projet à plusieurs, cette organisation stricte peut être un vrai atout, surtout quand il s’agit de gros projets de rénovation.

En bref, créer une SCI pour acheter et rénover un bien est une solution qui permet de bien s’organiser, d’optimiser fiscalement les travaux et de partager les coûts sans ambiguïtés. Si vous avez un projet immobilier à plusieurs, c’est une option à considérer sérieusement.

Installation de volets, les 3 choses à savoir

Installer des volets est une opération qui va bien au-delà du simple aspect esthétique. Les volets jouent un rôle crucial dans la protection contre les intempéries, la sécurité de votre domicile, et l’isolation thermique et acoustique. Que vous choisissiez des volets battants, roulants, ou coulissants, il est essentiel de prendre en compte plusieurs éléments pour garantir une installation réussie et durable. Voici les trois points essentiels à connaître avant de vous lancer.

le choix du type de volet : protection et praticité

Le premier point à considérer est le type de volet à installer. Les volets battants sont les plus traditionnels, souvent choisis pour leur charme et leur capacité à ajouter une touche de caractère aux maisons, notamment dans les régions où l’architecture traditionnelle est préservée. Ces volets, composés de deux panneaux qui se rabattent sur les murs extérieurs, sont simples à manipuler et offrent une bonne protection contre le froid et le bruit. Par exemple, dans une maison située en zone rurale, exposée à des vents forts, les volets battants en bois massif peuvent constituer une barrière efficace contre les rafales tout en renforçant l’isolation des fenêtres.

Cependant, les volets battants nécessitent de l’espace autour des fenêtres pour s’ouvrir correctement. Si vos fenêtres sont situées à proximité de murs ou de clôtures, ou si vous avez des plantations qui pourraient gêner leur ouverture, il sera peut-être plus judicieux d’envisager d’autres options. C’est ici que les volets roulants montrent toute leur utilité. Ces volets se logent discrètement dans un caisson situé au-dessus de la fenêtre et s’enroulent sur eux-mêmes. Ils sont particulièrement appréciés pour leur capacité à être motorisés, ce qui permet de les ouvrir et de les fermer facilement, même à distance. Dans un immeuble moderne avec des fenêtres de grande taille, les volets roulants motorisés apportent non seulement du confort, mais aussi une sécurité renforcée grâce à des verrous automatiques intégrés.

Enfin, les volets coulissants sont une alternative intéressante, surtout pour les constructions contemporaines. Ces volets se déplacent latéralement le long de rails fixés sur la façade de la maison. Ils permettent une grande liberté de design et peuvent être fabriqués dans des matériaux variés comme l’aluminium ou le bois composite, offrant une combinaison de légèreté et de robustesse. Par exemple, dans une maison à l’architecture moderne, les volets coulissants en aluminium anodisé peuvent ajouter une touche de minimalisme tout en offrant une excellente protection contre les éléments.

la prise de mesures et la compatibilité : précision et anticipation

Avant d’installer des volets, la précision dans la prise de mesures est capitale. Une erreur de quelques millimètres peut entraîner des problèmes d’ajustement qui compromettent l’efficacité des volets, tant sur le plan esthétique que fonctionnel. Pour des volets battants, il est crucial de mesurer la largeur et la hauteur de l’ouverture de la fenêtre à plusieurs endroits pour tenir compte des éventuelles irrégularités du mur. Si les murs présentent des aspérités ou des angles non droits, des ajustements seront nécessaires pour garantir que les volets se ferment parfaitement, sans laisser passer l’air ou l’eau.

Pour les volets roulants, en plus des dimensions de la fenêtre, il faut prendre en compte la taille du caisson dans lequel le volet sera logé. Si ce caisson est trop volumineux, il pourrait empiéter sur l’ouverture de la fenêtre ou être inesthétique. À l’inverse, un caisson trop petit risque de ne pas permettre un enroulement correct du volet, ce qui peut entraîner des blocages ou une usure prématurée. Dans une maison avec des fenêtres hautes, par exemple, il est indispensable de s’assurer que le caisson reste discret tout en étant suffisamment dimensionné pour contenir le volet lorsqu’il est complètement enroulé.

En ce qui concerne les volets coulissants, la prise de mesures est encore plus délicate. Il faut prévoir suffisamment d’espace latéral pour permettre au volet de coulisser librement sans rencontrer d’obstacles. De plus, les rails doivent être installés de manière parfaitement horizontale pour éviter tout déraillement ou blocage lors de l’ouverture et de la fermeture. Si votre façade présente des irrégularités, il peut être nécessaire de procéder à des travaux de nivellement avant l’installation pour garantir un mouvement fluide des volets.

fixation et motorisation : durabilité et confort

La qualité de la fixation des volets est un facteur déterminant pour leur durabilité. Les volets battants doivent être fixés avec des gonds robustes capables de supporter le poids des panneaux, surtout s’ils sont en bois massif ou en métal. Les gonds doivent être ancrés solidement dans le mur, idéalement dans une maçonnerie saine, pour éviter tout affaissement au fil du temps. Par exemple, dans une maison ancienne où les murs peuvent être fragilisés par l’âge, il peut être nécessaire de renforcer les points d’ancrage avec des équerres métalliques ou d’utiliser des chevilles spéciales pour maçonnerie friable.

Pour les volets roulants, la motorisation est un aspect clé qui améliore le confort d’utilisation. Un moteur bien choisi doit être capable de soulever le poids du volet sans effort excessif et doit être équipé de systèmes de protection contre les surcharges pour éviter toute détérioration en cas de blocage. L’installation électrique doit être réalisée avec soin, en veillant à ce que les câbles soient bien protégés et que l’alimentation soit stable pour éviter les pannes. Dans une maison située dans une région sujette aux coupures de courant, l’installation d’un système de batterie de secours pourrait s’avérer judicieux pour garantir le fonctionnement des volets roulants en toutes circonstances.

Les volets coulissants, eux, nécessitent une fixation impeccable des rails. Ces derniers doivent être solidement fixés au mur ou au plafond pour supporter le poids des volets et permettre un mouvement fluide. Les roulements à billes ou les patins de guidage doivent être de qualité pour éviter tout frottement ou blocage. En cas de motorisation, un moteur suffisamment puissant doit être installé pour garantir une ouverture et une fermeture sans à-coups, même pour des volets de grande taille.

Dans chaque cas, la qualité des matériaux utilisés pour la fixation, l’installation des motorisations, et les accessoires comme les verrous et les poignées, est cruciale pour assurer la longévité et la sécurité de vos volets. Un volet mal installé ou équipé de composants de mauvaise qualité ne remplira pas efficacement son rôle de protection et nécessitera des réparations fréquentes.

Faire construire sa maison : prévoir son aménagement extérieur

Lorsque l’on se lance dans les plans de sa maison dans le cadre d’une construction neuve, il faut penser à de nombreuses choses. Si l’aménagement intérieur requiert souvent toute l’attention des futurs propriétaires, il faut également prévoir l’aménagement de son espace extérieur. 

En effet, certains éléments doivent figurer sur le permis de construire. Ainsi, aucune demande ne sera à refaire après la construction de la maison. C’est notamment le cas des travaux liés à la terrasse et aux accès depuis la voie publique. 

De la simple clôture au portail motorisé à la construction d’une terrasse abritée, il ne faut rien omettre. Faisons le point.

Pourquoi prévoir ses aménagements extérieurs dès le début du projet ?

La construction d’une maison est régie par les lois d’urbanisme. Celles-ci varient en fonction du département. Leur but est de veiller à une harmonie dans les constructions, au respect des normes de sécurité, à l’intimité des différents voisins, etc. 

Lors du dépôt du permis de construire, tous les éléments fixés par un ou plusieurs règlements d’urbanisme (comme le PLU ou Bâtiments France) sont vérifiés avant validation ou rejet des plans pour non-respect d’une condition. C’est pourquoi il vaut mieux faire figurer le maximum d’informations sur les plans de sa maison et ainsi s’épargner toute mauvaise surprise lors des demandes d’ajout. 

Par exemple, si le projet est d’ajouter une pergola à sa maison pour protéger sa terrasse, celle-ci peut être tout simplement refusée. Il est donc préférable de le savoir le plus tôt possible pour trouver une autre solution. 

Quels aménagements extérieurs prévoir dès le début du projet de construction ?

Comme nous le disions, le mieux est de faire figurer sur ses plans tout ce que l’on aimerait mettre en place. Cela concerne en priorité les clôtures et la construction d’une terrasse.

La clôture et le portail de la future maison

Que ce soit pour sécuriser le terrain ou tout simplement pour conserver un peu d’intimité, faire installer une clôture pour délimiter le jardin et se protéger du vis-à-vis est souvent envisagé. Toutefois, tous les aménagements ne sont pas possibles en fonction de la réglementation (la hauteur peut être limitée par exemple). C’est pourquoi il est important d’identifier ce qu’il est possible de faire : grillage, haie, palissade de jardin en bois, en PVC ou en bambou, etc. Attention à l’entretien qu’il faudra réaliser par la suite.

Ce qui précède est valable également pour le choix du portail (motorisé ou non), notamment en termes d’emplacement, de largeur, de hauteur, etc.

L’aménagement de la terrasse de la future maison

Pour toutes les raisons précédemment expliquées, la construction d’une terrasse nécessite la même attention. Il faut savoir que, selon sa surface, une demande de permis de construire pourrait être nécessaire si la terrasse ne figure pas sur les plans de la maison. 

En bois, en pierre naturelle, en carrelage, sur plots, sur dalle de béton, etc., tout cela doit être déterminé le plus en amont du projet. Cela demeure également valable pour ceux qui souhaitent un préau ou un débord de toit pour abriter la terrasse. 

La terrasse doit être d’une surface suffisamment grande pour accueillir le salon de jardin, la table à manger, un parasol, des accessoires de déco, etc. 

Les points de vigilance en matière de batterie à l’achat d’un scooter électrique

Le moteur d’un scooter électrique étant alimenté par une batterie, celle-ci conditionne donc son autonomie, bien que d’autres critères entrent également en jeu, comme le dénivelé de la route ou le poids de chargement du deux-roues. 

Toujours est-il que la batterie est un des composants fondamentaux pour le bon fonctionnement et la performance du scooter. Il faut donc veiller à bien choisir le modèle de scooter électrique pour que sa batterie corresponde bien à l’usage qui serait fait du véhicule.

C’est pourquoi nous vous précisons les points de vigilance en matière de batterie dans ce qui suit.

Les différents types de batteries d’un scooter électrique

 La première chose à savoir est qu’il existe deux types de batteries pour un scooter électrique : la batterie au lithium et la batterie au plomb.

Bien que le niveau de performance entre les deux modèles soit similaire, la batterie au lithium est d’une technologie plus récente. Elle possède donc des intérêts indéniables. 

Les avantages de la batterie au lithium sont qu’elle est légère (trois fois moins lourde qu’une batterie au plomb), capable de stocker plus d’énergie et sa recharge est plus rapide (2 heures pour avoir 80 % de charge contre 5 à 6 heures pour une batterie au plomb). De plus, contrairement à la batterie au plomb, elle ne subit aucun phénomène de décharge lors de sa non-utilisation. Enfin, la batterie au lithium possède une durée de vie bien plus longue.

Toutefois, elle est bien plus chère à l’achat. Son prix peut grimper jusqu’à 2000 euros contre 500 euros maximum pour un modèle au plomb.

La durée de vie d’une batterie de scooter électrique

La durée de vie d’une batterie de scooter électrique, à ne pas confondre avec son autonomie sur laquelle nous reviendrons, s’exprime généralement en nombre de cycles de recharge comme pour toutes les batteries ou piles rechargeables.

En effet, il n’est pas possible de recharger indéfiniment une batterie. La durée de vie d’une batterie au lithium est donnée pour 800 cycles, soit environ 50 000 km (à raison de 60 km d’autonomie) alors que celle d’une batterie au plomb est de 12 à 18 mois, soit environ 10 000 km.

 Il faut également savoir que les nouveaux modèles de scooter électrique disposent désormais d’une batterie au lithium, et ce pour tous les avantages précédemment mentionnés. D’autant plus que ce type de batterie est bien plus écologique et ouvre donc droit à un bonus écologique afin d’inciter l’achat d’une batterie au lithium.

L’autonomie de la batterie d’un scooter électrique

L’autonomie d’une batterie dépend d’un ensemble de facteurs, comme le type de route (en côte, voie rapide, etc.), le style de conduite, le poids de chargement, etc. Toutefois, elle varie également en fonction de la marque et du modèle. L’autonomie théorique d’une batterie de scooter électrique se situe donc entre 40 et 80 km (charge complète).

La capacité de batterie dépend de sa taille, plus elle est conséquente et plus elle dispose d’autonomie. Certains modèles sont amovibles (transportables). Pour cela, la batterie est plus petite afin d’être plus légère. Mais l’avantage est qu’il est possible de la retirer pour la recharger n’importe où, ce qui est pratique pour ceux qui vivent en appartement.