Comment choisir un miroir original pour sa décoration d’intérieur ?

En matière de décoration d’intérieur, certains accessoires apportent une touche d’originalité instantanément. En outre, ils peuvent permettre d’agrandir visuellement l’espace, indispensable pour certaines petites pièces (comme l’entrée). 

Tout cela est d’autant plus vrai pour les miroirs qui, en plus, permettent de se regarder et de renforcer la luminosité d’une pièce. En outre, par leurs formes ou couleurs, ils contribuent à l’ambiance de la maison.

Aujourd’hui, il existe énormément de types et de modèles de miroirs à choisir en fonction de la pièce ciblée (la chambre, la salle de bain et l’entrée étant les emplacements privilégiés). Un miroir se caractérise par sa forme, ses dimensions et son cadre. Aussi, il existe une pluralité de possibilités. 

 Mais comment choisir dans cette myriade de choix ? Découvrez-le dans ce qui suit.

Le choix de la forme du miroir

Concernant la forme, l’offre s’étend des formes traditionnelles (formes rectangulaires, rondes ou carrées) aux formes plus originales et tendance : ovale, triangulaire, hublot, étoile, soleil, alphabet, asymétrique, géométrique, etc. 

Certains miroirs, rien que pour leur forme, sont déjà des créations originales pouvant largement suffire à créer l’ambiance ou le design recherché. Ils trouvent naturellement leur place dans une entrée ou un salon. Toutefois, leur manque de praticité réduit leur utilité. Aussi, il est préférable de ne pas les installer dans une salle de bain ou une chambre. 

Le choix de la taille du miroir

Concernant les dimensions des miroirs, une fois encore, les possibilités sont nombreuses. Il faut tout de même considérer que plus un miroir est grand, plus il est lourd, car le verre est plus épais, ce qui n’est pas sans incidence sur son emplacement (lorsqu’il doit être fixé au mur).

Mais outre ce critère, d’autres éléments sont à prendre en compte dans le choix de la taille d’un miroir original, notamment la taille de la pièce dans laquelle il va se trouver et le type de miroir : miroir mural à coller ou à accrocher par un système de fixation ou à poser (au sol, sur un meuble, etc.).

Le choix du cadre du miroir

Alors que les miroirs les plus originaux se passent aisément d’un cadre, la majorité des miroirs traditionnels en possèdent un, généralement en bois ou en métal, en fonction du style esthétique recherché. Par exemple, un cadre en bois contribue à donner un style épuré à la déco alors que le métal s’intègre davantage dans un design intérieur industriel ou en pierre.

Il est aussi possible de trouver d’autres matières de cadre, notamment le plastique, le rotin ou le bambou qui peuvent alors renforcer la décoration générale de la pièce en place ou envisagée.  

Le choix de la couleur du cadre du miroir

Selon la matière choisie pour le cadre, celle-ci peut alors se décliner en différentes couleurs. Les cadres en bois sont généralement de la couleur originelle de l’essence de bois utilisée, certains bois étant naturellement clairs ou foncés. Le métal peut se décliner en noir, en doré, en argenté, en cuivré, etc. 

Il y a davantage de choix de couleurs, des plus claires et neutres aux plus colorées et vives, dès lors que l’on s’oriente vers le choix d’un cadre en plastique. Dans un tel cas, la couleur doit être choisie au regard de la déco de la pièce.

Comment choisir son tapis de salon pour une belle décoration ?

Un tapis est un véritable objet de décoration, quelle que soit la pièce de la maison concernée. Mais cela est encore plus vrai lorsqu’il s’agit du salon, lieu de vie et de réception, mais aussi de repos. En outre, le salon est souvent le point central de la maison et est ainsi soumis à tous les regards.

Mais plus que décorer la pièce, un tapis de salon remplit différentes fonctions, comme être chaleureux ou délimiter l’espace salon, notamment dans les pièces ouvertes.

Pour toutes ces raisons, choisir un tapis de salon n’est pas une chose aisée, car outre son style et sa couleur, ses dimensions ne sont pas sans conséquence sur l’effet final.

Nous vous expliquons comment bien choisir son tapis de salon pour une belle décoration intérieure.

Choisir la forme et les dimensions de son tapis de salon

Il existe de nombreuses formes de tapis destinés à prendre place dans un salon : carré, rectangulaire rond, ovale. De la forme dépendent aussi les dimensions, mais nous y reviendrons ultérieurement. Alors, comment faire le bon choix ?

Il faut en premier lieu identifier l’emplacement du tapis au regard de sa fonction : matérialiser un passage ou un espace, prendre place sous une table basse ou un canapé, ne pas être recouvert par du mobilier, etc.

Les règles en matière de décoration d’intérieur veulent que la surface du tapis ne représente pas plus de 30 % de la surface du salon. En effet, un grand tapis rectangulaire dans un petit salon rétrécira visuellement la surface, contrairement à une forme ronde qui l’agrandira.

Lorsque le tapis est installé sous un meuble, il convient de le laisser dépasser d’environ 50 cm de chaque côté du meuble pour une question d’harmonie visuelle. En outre, il doit avoir la même forme et la même orientation que le meuble sous lequel il prend place. 

Bien choisir la matière de son tapis de salon

La matière d’un tapis de salon n’est pas sans impact sur son confort, son design et son entretien. Ce dernier point est d’autant plus important qu’il n’est pas rare de prendre l’apéritif et, pour les amateurs de plateau télé, ses repas. Aussi, il doit être peu salissant et facile à nettoyer, mais aussi résistant aux tâches. 

Parmi les matières naturelles au choix, notons :

  • la laine, à la fois confortable, résistante à l’usure et aux tâches, idéale pour l’isolation phonique et thermique ;
  • le coton, doté d’une grande capacité d’absorption et d’évacuation de l’humidité ;
  • la soie, matière brillante et douce, thermorégulatrice, mais à l’entretien spécifique ;
  • les matières naturelles dites écologiques et durables, comme la jute, le lin ou les fibres de bambou.

Il existe également de tapis en fibres synthétiques, uniquement de la viscose et du polyester. Alors que la viscose ressemble à la soie, le polyester s’apparente plus à de la laine. Cependant, le polyester est plus simple à entretenir et conserve ses couleurs plus longtemps.

Bien choisir la couleur et les motifs de son tapis de salon 

Le choix de la couleur et des motifs doit être fait en fonction de l’ambiance et de la décoration intérieure afin de conserver une harmonie. Toutefois, certaines couleurs ont des spécificités. Ainsi, les couleurs neutres et les motifs discrets s’intègrent plus facilement à la déco et offrent plus de luminosité.

Pourquoi rénover un bien avec une SCI peut être un bon plan

Acheter un bien immobilier à rénover peut être une super opportunité, surtout si vous comptez le faire à plusieurs. C’est là qu’une Société Civile Immobilière (SCI) peut vraiment faire la différence. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle permet de répartir les coûts, de mieux gérer les travaux et de bénéficier d’avantages fiscaux non négligeables.

Premièrement, la SCI facilite l’achat collectif. Que vous soyez en famille ou entre amis, chacun peut investir à hauteur de ses moyens, sous forme de parts sociales. Cela permet de mutualiser les ressources pour acquérir un bien qui, seul, serait peut-être inaccessible. Et pour les travaux, c’est la même logique : les coûts sont répartis selon les parts de chacun. Plus besoin de débattre à chaque facture, tout est clair dès le départ.

Ensuite, la SCI permet de rendre les dépenses de rénovation plus intéressantes fiscalement. Si vous louez le bien après les travaux, les frais engagés pour rénover – qu’il s’agisse des matériaux, des artisans ou même des intérêts d’un prêt – peuvent être déduits des revenus locatifs. Résultat : vos impôts sont allégés et vous valorisez un bien qui, à terme, prendra de la valeur. C’est un double gain.

Côté gestion, la SCI a aussi des avantages. Plutôt que de vous retrouver dans une situation d’indivision où chaque décision peut virer au casse-tête, la SCI impose des règles claires dès le départ. Les décisions sont prises collectivement selon les modalités fixées dans les statuts, ce qui évite les blocages, notamment sur les choix de rénovation ou de financement.

Bien sûr, il y a quelques obligations à respecter. La tenue des comptes, les assemblées générales, et tout ce qui tourne autour de la gestion d’une société doivent être bien cadrés. Mais pour un projet à plusieurs, cette organisation stricte peut être un vrai atout, surtout quand il s’agit de gros projets de rénovation.

En bref, créer une SCI pour acheter et rénover un bien est une solution qui permet de bien s’organiser, d’optimiser fiscalement les travaux et de partager les coûts sans ambiguïtés. Si vous avez un projet immobilier à plusieurs, c’est une option à considérer sérieusement.

Installation de volets, les 3 choses à savoir

Installer des volets est une opération qui va bien au-delà du simple aspect esthétique. Les volets jouent un rôle crucial dans la protection contre les intempéries, la sécurité de votre domicile, et l’isolation thermique et acoustique. Que vous choisissiez des volets battants, roulants, ou coulissants, il est essentiel de prendre en compte plusieurs éléments pour garantir une installation réussie et durable. Voici les trois points essentiels à connaître avant de vous lancer.

le choix du type de volet : protection et praticité

Le premier point à considérer est le type de volet à installer. Les volets battants sont les plus traditionnels, souvent choisis pour leur charme et leur capacité à ajouter une touche de caractère aux maisons, notamment dans les régions où l’architecture traditionnelle est préservée. Ces volets, composés de deux panneaux qui se rabattent sur les murs extérieurs, sont simples à manipuler et offrent une bonne protection contre le froid et le bruit. Par exemple, dans une maison située en zone rurale, exposée à des vents forts, les volets battants en bois massif peuvent constituer une barrière efficace contre les rafales tout en renforçant l’isolation des fenêtres.

Cependant, les volets battants nécessitent de l’espace autour des fenêtres pour s’ouvrir correctement. Si vos fenêtres sont situées à proximité de murs ou de clôtures, ou si vous avez des plantations qui pourraient gêner leur ouverture, il sera peut-être plus judicieux d’envisager d’autres options. C’est ici que les volets roulants montrent toute leur utilité. Ces volets se logent discrètement dans un caisson situé au-dessus de la fenêtre et s’enroulent sur eux-mêmes. Ils sont particulièrement appréciés pour leur capacité à être motorisés, ce qui permet de les ouvrir et de les fermer facilement, même à distance. Dans un immeuble moderne avec des fenêtres de grande taille, les volets roulants motorisés apportent non seulement du confort, mais aussi une sécurité renforcée grâce à des verrous automatiques intégrés.

Enfin, les volets coulissants sont une alternative intéressante, surtout pour les constructions contemporaines. Ces volets se déplacent latéralement le long de rails fixés sur la façade de la maison. Ils permettent une grande liberté de design et peuvent être fabriqués dans des matériaux variés comme l’aluminium ou le bois composite, offrant une combinaison de légèreté et de robustesse. Par exemple, dans une maison à l’architecture moderne, les volets coulissants en aluminium anodisé peuvent ajouter une touche de minimalisme tout en offrant une excellente protection contre les éléments.

la prise de mesures et la compatibilité : précision et anticipation

Avant d’installer des volets, la précision dans la prise de mesures est capitale. Une erreur de quelques millimètres peut entraîner des problèmes d’ajustement qui compromettent l’efficacité des volets, tant sur le plan esthétique que fonctionnel. Pour des volets battants, il est crucial de mesurer la largeur et la hauteur de l’ouverture de la fenêtre à plusieurs endroits pour tenir compte des éventuelles irrégularités du mur. Si les murs présentent des aspérités ou des angles non droits, des ajustements seront nécessaires pour garantir que les volets se ferment parfaitement, sans laisser passer l’air ou l’eau.

Pour les volets roulants, en plus des dimensions de la fenêtre, il faut prendre en compte la taille du caisson dans lequel le volet sera logé. Si ce caisson est trop volumineux, il pourrait empiéter sur l’ouverture de la fenêtre ou être inesthétique. À l’inverse, un caisson trop petit risque de ne pas permettre un enroulement correct du volet, ce qui peut entraîner des blocages ou une usure prématurée. Dans une maison avec des fenêtres hautes, par exemple, il est indispensable de s’assurer que le caisson reste discret tout en étant suffisamment dimensionné pour contenir le volet lorsqu’il est complètement enroulé.

En ce qui concerne les volets coulissants, la prise de mesures est encore plus délicate. Il faut prévoir suffisamment d’espace latéral pour permettre au volet de coulisser librement sans rencontrer d’obstacles. De plus, les rails doivent être installés de manière parfaitement horizontale pour éviter tout déraillement ou blocage lors de l’ouverture et de la fermeture. Si votre façade présente des irrégularités, il peut être nécessaire de procéder à des travaux de nivellement avant l’installation pour garantir un mouvement fluide des volets.

fixation et motorisation : durabilité et confort

La qualité de la fixation des volets est un facteur déterminant pour leur durabilité. Les volets battants doivent être fixés avec des gonds robustes capables de supporter le poids des panneaux, surtout s’ils sont en bois massif ou en métal. Les gonds doivent être ancrés solidement dans le mur, idéalement dans une maçonnerie saine, pour éviter tout affaissement au fil du temps. Par exemple, dans une maison ancienne où les murs peuvent être fragilisés par l’âge, il peut être nécessaire de renforcer les points d’ancrage avec des équerres métalliques ou d’utiliser des chevilles spéciales pour maçonnerie friable.

Pour les volets roulants, la motorisation est un aspect clé qui améliore le confort d’utilisation. Un moteur bien choisi doit être capable de soulever le poids du volet sans effort excessif et doit être équipé de systèmes de protection contre les surcharges pour éviter toute détérioration en cas de blocage. L’installation électrique doit être réalisée avec soin, en veillant à ce que les câbles soient bien protégés et que l’alimentation soit stable pour éviter les pannes. Dans une maison située dans une région sujette aux coupures de courant, l’installation d’un système de batterie de secours pourrait s’avérer judicieux pour garantir le fonctionnement des volets roulants en toutes circonstances.

Les volets coulissants, eux, nécessitent une fixation impeccable des rails. Ces derniers doivent être solidement fixés au mur ou au plafond pour supporter le poids des volets et permettre un mouvement fluide. Les roulements à billes ou les patins de guidage doivent être de qualité pour éviter tout frottement ou blocage. En cas de motorisation, un moteur suffisamment puissant doit être installé pour garantir une ouverture et une fermeture sans à-coups, même pour des volets de grande taille.

Dans chaque cas, la qualité des matériaux utilisés pour la fixation, l’installation des motorisations, et les accessoires comme les verrous et les poignées, est cruciale pour assurer la longévité et la sécurité de vos volets. Un volet mal installé ou équipé de composants de mauvaise qualité ne remplira pas efficacement son rôle de protection et nécessitera des réparations fréquentes.

Les 8 corps de métier indispensables pour vos travaux dans la maison

Lorsqu’il s’agit de rénover ou d’entretenir votre maison, l’intervention de professionnels qualifiés est souvent indispensable pour garantir la qualité, la sécurité et la durabilité des travaux. Il est tentant de vouloir tout faire soi-même pour économiser de l’argent, mais certaines tâches nécessitent un savoir-faire technique et une expérience que seuls les artisans spécialisés peuvent apporter. Voici un tour d’horizon des corps de métier essentiels pour vos travaux de maison.

L’électricien : le garant de votre sécurité énergétique

Un électricien est crucial pour toute intervention touchant à l’installation électrique de votre maison. Que ce soit pour installer de nouveaux éclairages, ajouter des prises ou remettre aux normes une installation vétuste, l’électricien assure non seulement le bon fonctionnement de vos équipements, mais aussi votre sécurité. Les mauvaises manipulations peuvent entraîner des risques d’incendie ou d’électrocution. Par exemple, si vous décidez d’installer vous-même un nouveau tableau électrique sans connaissance approfondie, vous pourriez mal dimensionner les circuits et provoquer des surcharges dangereuses.

Le plombier : le maître de l’eau et des fluides

Les problèmes de plomberie peuvent rapidement devenir cauchemardesques si mal gérés. Un plombier professionnel est indispensable pour tout ce qui concerne les canalisations, la pose de sanitaires, ou encore les systèmes de chauffage. Il assure une installation conforme aux normes et diagnostique avec précision les éventuels dysfonctionnements. Imaginez une fuite d’eau sous votre évier. Vous pourriez être tenté de simplement remplacer le joint vous-même. Cependant, sans une inspection complète, vous risquez de négliger un problème plus profond, comme une canalisation fissurée, entraînant des dégâts d’eau considérables sur le long terme.

Le maçon : l’architecte de vos structures

Le maçon est le professionnel auquel vous faites appel pour tous vos travaux de gros œuvre. Qu’il s’agisse de construire des murs, des cloisons, des fondations ou des extensions, son rôle est fondamental pour assurer la solidité et la stabilité de votre maison. Par exemple, lors de la rénovation d’une vieille bâtisse, il est courant de découvrir des problèmes structurels cachés. Un maçon expérimenté saura comment renforcer les murs existants et réaliser des travaux de consolidation, là où un amateur risquerait d’aggraver les dommages en utilisant des techniques inappropriées.

Le menuisier : le sculpteur du bois

Les travaux de menuiserie requièrent une précision et un savoir-faire particulier. Un menuisier intervient pour la fabrication et la pose de portes, fenêtres, escaliers, et meubles sur mesure. Il travaille également sur les charpentes et les structures en bois. Prenons l’exemple de la pose d’une nouvelle fenêtre. Un menuisier professionnel saura mesurer avec précision, ajuster et fixer correctement le cadre pour garantir une isolation optimale et une esthétique parfaite. Une mauvaise installation pourrait non seulement nuire à l’apparence de votre maison, mais aussi causer des problèmes d’isolation thermique et acoustique.

Le carreleur : l’artiste du sol et des murs

Le carreleur joue un rôle essentiel dans l’esthétique et la fonctionnalité de vos sols et murs. Il pose des carrelages avec une précision millimétrée, garantissant ainsi une surface plane et durable. La pose de carrelage semble simple, mais elle requiert un niveau de détail et une expertise que seuls les professionnels possèdent. Par exemple, une salle de bain carrelée de manière inégale peut entraîner des problèmes d’étanchéité et des infiltrations d’eau, causant des dommages à long terme.

Le peintre : le magicien des couleurs

Un bon peintre ne se contente pas d’appliquer de la peinture sur vos murs. Il prépare minutieusement les surfaces, traite les fissures et imperfections, et choisit les produits adaptés à chaque type de support. La peinture est souvent la touche finale qui donne vie à votre intérieur. Un travail de peinture mal exécuté peut ruiner l’ensemble de votre décoration et nécessiter une réfection coûteuse. Par exemple, dans une pièce exposée à l’humidité, l’utilisation d’une peinture inadaptée peut provoquer des moisissures et des cloques.
Un exemple de peintre : DPS 66 à Perpignan.

Le couvreur : le gardien de votre toit

Le couvreur est responsable de la pose et de l’entretien de votre toiture. Il travaille avec différents matériaux comme les tuiles, les ardoises ou les membranes étanches pour assurer une protection optimale contre les intempéries. Un toit mal posé ou mal entretenu peut entraîner des infiltrations d’eau, des pertes de chaleur et des dégâts structurels. Par exemple, une infiltration non détectée peut progressivement endommager la charpente en bois, conduisant à des réparations coûteuses et complexes.

L’architecte : le chef d’orchestre de vos projets

Lors de travaux de grande envergure, l’intervention d’un architecte est souvent nécessaire pour concevoir les plans, obtenir les autorisations et superviser le chantier. L’architecte joue un rôle central dans la coordination des différents corps de métier, veillant à ce que chaque étape se déroule selon les normes et le calendrier établi. Par exemple, dans le cadre de la rénovation complète d’une maison, l’architecte s’assure que les travaux de démolition, de construction et de finition s’enchaînent de manière harmonieuse et efficace.

La consommation électrique en France : un reflet de notre quotidien

En France, la consommation d’électricité dessine les contours de notre quotidien et de notre rapport à l’énergie. En 2022, le pays a enregistré une consommation totale de 459,3 TWh. Chaque ménage, en moyenne, a consommé environ 5 681 kWh en 2021, ce qui se traduit par une consommation moyenne d’électricité par individu d’environ 2 275 kWh par an. Ces chiffres, bien que représentatifs, cachent des variations liées à la taille des logements, aux habitudes des résidents et à l’efficacité des équipements utilisés​​.

La stabilité de cette consommation au fil des années est frappante, avec cependant des fluctuations notables. Entre 2019 et 2020, une baisse de 5,1 % a été observée, attribuée à la crise sanitaire et à une transition énergétique de plus en plus marquée. En 2022, une autre diminution de 3,88 % par rapport à 2021 a été enregistrée, poursuivant cette tendance à la baisse et reflétant un engagement croissant envers des modes de vie plus durables​​.

Dans le détail, la consommation quotidienne par personne s’élève à environ 6 kWh. Ce chiffre, bien qu’utile, est une moyenne qui masque les disparités. La consommation varie grandement selon les caractéristiques du logement, comme sa taille, son isolation, le type de chauffage utilisé et la nature des équipements électriques présents (et leur état). Ces différences se reflètent non seulement dans nos habitudes de vie mais aussi sur nos factures d’électricité​​.

Les logements tout électrique, par exemple, consomment naturellement plus d’électricité que ceux utilisant d’autres sources d’énergie pour le chauffage et l’eau chaude. Cette consommation accrue a un impact direct sur le montant de la facture. En parallèle, le choix de la puissance du compteur et de l’option tarifaire influence également les coûts. Une puissance plus élevée permet de soutirer davantage d’électricité du réseau, mais implique un abonnement plus cher, tandis que l’option tarifaire heures pleines/heures creuses offre des prix variables selon les heures de la journée​​​​.

La consommation électrique en France est donc un sujet complexe, influencé par une multitude de facteurs. C’est un reflet de notre mode de vie, de nos choix en matière d’habitat et de consommation, ainsi que de notre engagement envers un avenir plus durable et respectueux de l’environnement.

Faire construire sa maison : prévoir son aménagement extérieur

Lorsque l’on se lance dans les plans de sa maison dans le cadre d’une construction neuve, il faut penser à de nombreuses choses. Si l’aménagement intérieur requiert souvent toute l’attention des futurs propriétaires, il faut également prévoir l’aménagement de son espace extérieur. 

En effet, certains éléments doivent figurer sur le permis de construire. Ainsi, aucune demande ne sera à refaire après la construction de la maison. C’est notamment le cas des travaux liés à la terrasse et aux accès depuis la voie publique. 

De la simple clôture au portail motorisé à la construction d’une terrasse abritée, il ne faut rien omettre. Faisons le point.

Pourquoi prévoir ses aménagements extérieurs dès le début du projet ?

La construction d’une maison est régie par les lois d’urbanisme. Celles-ci varient en fonction du département. Leur but est de veiller à une harmonie dans les constructions, au respect des normes de sécurité, à l’intimité des différents voisins, etc. 

Lors du dépôt du permis de construire, tous les éléments fixés par un ou plusieurs règlements d’urbanisme (comme le PLU ou Bâtiments France) sont vérifiés avant validation ou rejet des plans pour non-respect d’une condition. C’est pourquoi il vaut mieux faire figurer le maximum d’informations sur les plans de sa maison et ainsi s’épargner toute mauvaise surprise lors des demandes d’ajout. 

Par exemple, si le projet est d’ajouter une pergola à sa maison pour protéger sa terrasse, celle-ci peut être tout simplement refusée. Il est donc préférable de le savoir le plus tôt possible pour trouver une autre solution. 

Quels aménagements extérieurs prévoir dès le début du projet de construction ?

Comme nous le disions, le mieux est de faire figurer sur ses plans tout ce que l’on aimerait mettre en place. Cela concerne en priorité les clôtures et la construction d’une terrasse.

La clôture et le portail de la future maison

Que ce soit pour sécuriser le terrain ou tout simplement pour conserver un peu d’intimité, faire installer une clôture pour délimiter le jardin et se protéger du vis-à-vis est souvent envisagé. Toutefois, tous les aménagements ne sont pas possibles en fonction de la réglementation (la hauteur peut être limitée par exemple). C’est pourquoi il est important d’identifier ce qu’il est possible de faire : grillage, haie, palissade de jardin en bois, en PVC ou en bambou, etc. Attention à l’entretien qu’il faudra réaliser par la suite.

Ce qui précède est valable également pour le choix du portail (motorisé ou non), notamment en termes d’emplacement, de largeur, de hauteur, etc.

L’aménagement de la terrasse de la future maison

Pour toutes les raisons précédemment expliquées, la construction d’une terrasse nécessite la même attention. Il faut savoir que, selon sa surface, une demande de permis de construire pourrait être nécessaire si la terrasse ne figure pas sur les plans de la maison. 

En bois, en pierre naturelle, en carrelage, sur plots, sur dalle de béton, etc., tout cela doit être déterminé le plus en amont du projet. Cela demeure également valable pour ceux qui souhaitent un préau ou un débord de toit pour abriter la terrasse. 

La terrasse doit être d’une surface suffisamment grande pour accueillir le salon de jardin, la table à manger, un parasol, des accessoires de déco, etc. 

Zoom sur le métier de charpentier

Le métier de charpentier possède plusieurs facettes et requiert plusieurs qualités spécifiques. Cet artisan professionnel du bâtiment peut intervenir à différents moments de la vie d’un bâtiment (maison, hangar, bâtiment industriel, etc.), de sa construction aux travaux de rénovation.

En effet, il ne s’occupe pas uniquement de la conception de la charpente. Son matériau de prédilection est le bois (il ne faut pas avoir peur des termites !). Aussi, il n’est pas rare qu’un charpentier soit également menuisier et/ou couvreur. Les techniques de construction évoluant, il devient également un expert des charpentes métalliques. 

C’est parti, on vous dit tout de ce métier pluriel aux multiples compétences.

Le métier de charpentier

Bien évidemment, le terme de charpentier nous fait immédiatement penser à un professionnel de la charpente. Et c’est effectivement le cas. Il s’occupe de la conception et de l’installation de la charpente d’une maison, mais aussi de son entretien et sa rénovation en cas de dommages. En plus de l’assemblage des poutres et de la charpente en elle-même, il conçoit et installe également tous les accessoires de charpente tels que lucarnes ou soupentes dans le cas de travaux d’aménagement des combles.

Mais le charpentier intervient également sur différents domaines de la construction : des menuiseries courantes aux planchers en passant par les escaliers, notamment lorsqu’il est également menuisier.

Dans certains cas, il intervient aussi dans le rehaussement de toiture, lorsque les propriétaires souhaitent gagner de la hauteur sous plafond ou changer la pente du toit. 

Un métier en constante évolution

Si le savoir-faire ancestral du charpentier réside dans le travail du bois, il est cependant amené à évoluer au gré des nouvelles normes et techniques de construction ou des travaux de rénovation. Ainsi, de plus en plus de charpentiers se spécialisent dans la charpente métallique, le verre, l’aluminium, le PVC et d’autres matériaux contemporains, comme le composite et le plastique, qui entrent désormais dans la conception de la charpente. Il lui arrive de devenir menuisier et de s’occuper des ouvertures, portails, etc.

En outre, les nouveaux matériaux écologiques impliquent d’adapter le dimensionnement de la charpente aux nouvelles spécificités et normes.

Une activité règlementée nécessitant des qualités indéniables

Il faut savoir que n’est pas charpentier qui veut. Toute d’abord, le professionnel doit posséder un diplôme (CAP, bac pro, BTS) dans le secteur de la charpente. De plus, il doit être doté de certaines qualités intellectuelles et physiques.

En effet, pour être capable de répondre à toutes les attentes en matière d’ossature du logement, le charpentier doit comprendre les plans d’architecture et estimer les mesures. Comme nous l’avons vu, il doit être d’une grande polyvalence en matière de matériaux afin de pouvoir choisir celui qui convient le mieux selon la configuration ou les plans d’architecture propres à chaque chantier. Il doit également travailler avec minutie et précision, car toutes les mesures se font au millimètre près. 

Un charpentier doit également être à l’aise avec l’informatique pour être capable d’utiliser les logiciels, et plus encore aujourd’hui avec le développement de logiciels 3D, voire 4D (les logiciels BIM). Enfin, il doit posséder des connaissances poussées en géométrie et en mathématiques, notamment pour le traçage des charpentes. Et puis, c’est évident mais il faut le dire, il faut soit être capable de faire un minimum de compta et de secrétariat, soit s’entourer pour cela (des sites comme monsecretariat.fr vous explique tout sur ce sujet).

Le métier de charpentier est donc un travail bien plus compliqué et exigeant qu’on pourrait le croire. Pourtant, cela n’a rien de surprenant quand on sait que la charpente est la pièce maîtresse qui soutient le toit d’un bâtiment ou d’une maison.

Les points de vigilance en matière de batterie à l’achat d’un scooter électrique

Le moteur d’un scooter électrique étant alimenté par une batterie, celle-ci conditionne donc son autonomie, bien que d’autres critères entrent également en jeu, comme le dénivelé de la route ou le poids de chargement du deux-roues. 

Toujours est-il que la batterie est un des composants fondamentaux pour le bon fonctionnement et la performance du scooter. Il faut donc veiller à bien choisir le modèle de scooter électrique pour que sa batterie corresponde bien à l’usage qui serait fait du véhicule.

C’est pourquoi nous vous précisons les points de vigilance en matière de batterie dans ce qui suit.

Les différents types de batteries d’un scooter électrique

 La première chose à savoir est qu’il existe deux types de batteries pour un scooter électrique : la batterie au lithium et la batterie au plomb.

Bien que le niveau de performance entre les deux modèles soit similaire, la batterie au lithium est d’une technologie plus récente. Elle possède donc des intérêts indéniables. 

Les avantages de la batterie au lithium sont qu’elle est légère (trois fois moins lourde qu’une batterie au plomb), capable de stocker plus d’énergie et sa recharge est plus rapide (2 heures pour avoir 80 % de charge contre 5 à 6 heures pour une batterie au plomb). De plus, contrairement à la batterie au plomb, elle ne subit aucun phénomène de décharge lors de sa non-utilisation. Enfin, la batterie au lithium possède une durée de vie bien plus longue.

Toutefois, elle est bien plus chère à l’achat. Son prix peut grimper jusqu’à 2000 euros contre 500 euros maximum pour un modèle au plomb.

La durée de vie d’une batterie de scooter électrique

La durée de vie d’une batterie de scooter électrique, à ne pas confondre avec son autonomie sur laquelle nous reviendrons, s’exprime généralement en nombre de cycles de recharge comme pour toutes les batteries ou piles rechargeables.

En effet, il n’est pas possible de recharger indéfiniment une batterie. La durée de vie d’une batterie au lithium est donnée pour 800 cycles, soit environ 50 000 km (à raison de 60 km d’autonomie) alors que celle d’une batterie au plomb est de 12 à 18 mois, soit environ 10 000 km.

 Il faut également savoir que les nouveaux modèles de scooter électrique disposent désormais d’une batterie au lithium, et ce pour tous les avantages précédemment mentionnés. D’autant plus que ce type de batterie est bien plus écologique et ouvre donc droit à un bonus écologique afin d’inciter l’achat d’une batterie au lithium.

L’autonomie de la batterie d’un scooter électrique

L’autonomie d’une batterie dépend d’un ensemble de facteurs, comme le type de route (en côte, voie rapide, etc.), le style de conduite, le poids de chargement, etc. Toutefois, elle varie également en fonction de la marque et du modèle. L’autonomie théorique d’une batterie de scooter électrique se situe donc entre 40 et 80 km (charge complète).

La capacité de batterie dépend de sa taille, plus elle est conséquente et plus elle dispose d’autonomie. Certains modèles sont amovibles (transportables). Pour cela, la batterie est plus petite afin d’être plus légère. Mais l’avantage est qu’il est possible de la retirer pour la recharger n’importe où, ce qui est pratique pour ceux qui vivent en appartement.

Quels sont les accessoires de déco indispensables pour un intérieur cosy ?

Une décoration cosy, ou cocooning réchauffe votre intérieur pour en faire un véritable nid douillet l’hiver, mais également un lieu où vous vous sentez bien l’été. Certains éléments de déco cosy sont indispensables et apportent immédiatement une sensation de bien-être. Fourrure, velours, plumes, objets aux couleurs tendres ou flashy, vous avez l’embarras du choix.

Zoom sur les accessoires de déco indispensables pour un intérieur cosy.

Le plaid, le best of d’une décoration cocooning

Le plaid est la pièce de déco incontournable pour une ambiance cosy, car il habille votre salon instantanément et peut même servir à vous tenir chaud l’hiver. 

Sur un accoudoir ou le dossier de votre canapé, le choix en matière de plaid est vaste : couleurs variées, fond uni ou à motif, en laine, en mailles XXL, en fourrure de polyester tout doux, en polaire, avec un aspect vison, panthère, léopard, etc., toutes les fantaisies sont permises !

Les coussins, le grand classique en matière de décoration cosy

Les coussins sont un accessoire magique et pas cher pour une décoration cosy en un claquement de doigts : sur le canapé, au sol, sur les chaises, etc., ils existent en différentes formes (carré, rectangle, rond, en cœur, etc.), de toutes les couleurs (par exemple des couleurs vives pour l’été et des couleurs plus tendres pour l’hiver), avec des motifs, etc. 

Les coussins sont des éléments qui permettent de mettre votre petite touche d’originalité à votre intérieur, de plus ils se changent simplement en fonction de vos envies et de la saison.

Pour un effet hyper cosy, n’hésitez pas sur la quantité, faites-vous plaisir !

Le tapis, une touche chaleureuse en toute saison

Pour apporter une touche chaleureuse à votre intérieur, un tapis de type fausse fourrure ou à poil long est une pièce indispensable à une décoration cosy. Comme pour les coussins ou le plaid, faites-vous plaisir, mais tout en harmonisant l’ensemble.

Des assises confortables, l’équipement incontournable à un espace détente

Canapé confortable, méridienne, pouf assorti qui pourra servir de repose-pieds, fauteuil design et cocooning ou rocking-chair, les solutions pour passer de bons moments en famille sont nombreuses. En plus d’être pratiques, ces accessoires sont décoratifs et accueillent à merveille les soirées entre amis.

L’éclairage, pour jouer avec les ambiances

Un salon cosy se doit d’être bien éclairé. En plus de l’éclairage principal, les éclairages secondaires permettent d’ajuster la lumière de la pièce en fonction de l’ambiance recherchée et de l’activité du moment.

Besoin d’idées ? Lampadaire, lampe à poser, guirlandes lumineuses, bougies, etc., une fois de plus vous avez l’embarras du choix.