La consommation électrique en France : un reflet de notre quotidien

En France, la consommation d’électricité dessine les contours de notre quotidien et de notre rapport à l’énergie. En 2022, le pays a enregistré une consommation totale de 459,3 TWh. Chaque ménage, en moyenne, a consommé environ 5 681 kWh en 2021, ce qui se traduit par une consommation moyenne d’électricité par individu d’environ 2 275 kWh par an. Ces chiffres, bien que représentatifs, cachent des variations liées à la taille des logements, aux habitudes des résidents et à l’efficacité des équipements utilisés​​.

La stabilité de cette consommation au fil des années est frappante, avec cependant des fluctuations notables. Entre 2019 et 2020, une baisse de 5,1 % a été observée, attribuée à la crise sanitaire et à une transition énergétique de plus en plus marquée. En 2022, une autre diminution de 3,88 % par rapport à 2021 a été enregistrée, poursuivant cette tendance à la baisse et reflétant un engagement croissant envers des modes de vie plus durables​​.

Dans le détail, la consommation quotidienne par personne s’élève à environ 6 kWh. Ce chiffre, bien qu’utile, est une moyenne qui masque les disparités. La consommation varie grandement selon les caractéristiques du logement, comme sa taille, son isolation, le type de chauffage utilisé et la nature des équipements électriques présents (et leur état). Ces différences se reflètent non seulement dans nos habitudes de vie mais aussi sur nos factures d’électricité​​.

Les logements tout électrique, par exemple, consomment naturellement plus d’électricité que ceux utilisant d’autres sources d’énergie pour le chauffage et l’eau chaude. Cette consommation accrue a un impact direct sur le montant de la facture. En parallèle, le choix de la puissance du compteur et de l’option tarifaire influence également les coûts. Une puissance plus élevée permet de soutirer davantage d’électricité du réseau, mais implique un abonnement plus cher, tandis que l’option tarifaire heures pleines/heures creuses offre des prix variables selon les heures de la journée​​​​.

La consommation électrique en France est donc un sujet complexe, influencé par une multitude de facteurs. C’est un reflet de notre mode de vie, de nos choix en matière d’habitat et de consommation, ainsi que de notre engagement envers un avenir plus durable et respectueux de l’environnement.

Faire construire sa maison : prévoir son aménagement extérieur

Lorsque l’on se lance dans les plans de sa maison dans le cadre d’une construction neuve, il faut penser à de nombreuses choses. Si l’aménagement intérieur requiert souvent toute l’attention des futurs propriétaires, il faut également prévoir l’aménagement de son espace extérieur. 

En effet, certains éléments doivent figurer sur le permis de construire. Ainsi, aucune demande ne sera à refaire après la construction de la maison. C’est notamment le cas des travaux liés à la terrasse et aux accès depuis la voie publique. 

De la simple clôture au portail motorisé à la construction d’une terrasse abritée, il ne faut rien omettre. Faisons le point.

Pourquoi prévoir ses aménagements extérieurs dès le début du projet ?

La construction d’une maison est régie par les lois d’urbanisme. Celles-ci varient en fonction du département. Leur but est de veiller à une harmonie dans les constructions, au respect des normes de sécurité, à l’intimité des différents voisins, etc. 

Lors du dépôt du permis de construire, tous les éléments fixés par un ou plusieurs règlements d’urbanisme (comme le PLU ou Bâtiments France) sont vérifiés avant validation ou rejet des plans pour non-respect d’une condition. C’est pourquoi il vaut mieux faire figurer le maximum d’informations sur les plans de sa maison et ainsi s’épargner toute mauvaise surprise lors des demandes d’ajout. 

Par exemple, si le projet est d’ajouter une pergola à sa maison pour protéger sa terrasse, celle-ci peut être tout simplement refusée. Il est donc préférable de le savoir le plus tôt possible pour trouver une autre solution. 

Quels aménagements extérieurs prévoir dès le début du projet de construction ?

Comme nous le disions, le mieux est de faire figurer sur ses plans tout ce que l’on aimerait mettre en place. Cela concerne en priorité les clôtures et la construction d’une terrasse.

La clôture et le portail de la future maison

Que ce soit pour sécuriser le terrain ou tout simplement pour conserver un peu d’intimité, faire installer une clôture pour délimiter le jardin et se protéger du vis-à-vis est souvent envisagé. Toutefois, tous les aménagements ne sont pas possibles en fonction de la réglementation (la hauteur peut être limitée par exemple). C’est pourquoi il est important d’identifier ce qu’il est possible de faire : grillage, haie, palissade de jardin en bois, en PVC ou en bambou, etc. Attention à l’entretien qu’il faudra réaliser par la suite.

Ce qui précède est valable également pour le choix du portail (motorisé ou non), notamment en termes d’emplacement, de largeur, de hauteur, etc.

L’aménagement de la terrasse de la future maison

Pour toutes les raisons précédemment expliquées, la construction d’une terrasse nécessite la même attention. Il faut savoir que, selon sa surface, une demande de permis de construire pourrait être nécessaire si la terrasse ne figure pas sur les plans de la maison. 

En bois, en pierre naturelle, en carrelage, sur plots, sur dalle de béton, etc., tout cela doit être déterminé le plus en amont du projet. Cela demeure également valable pour ceux qui souhaitent un préau ou un débord de toit pour abriter la terrasse. 

La terrasse doit être d’une surface suffisamment grande pour accueillir le salon de jardin, la table à manger, un parasol, des accessoires de déco, etc. 

Zoom sur le métier de charpentier

Le métier de charpentier possède plusieurs facettes et requiert plusieurs qualités spécifiques. Cet artisan professionnel du bâtiment peut intervenir à différents moments de la vie d’un bâtiment (maison, hangar, bâtiment industriel, etc.), de sa construction aux travaux de rénovation.

En effet, il ne s’occupe pas uniquement de la conception de la charpente. Son matériau de prédilection est le bois (il ne faut pas avoir peur des termites !). Aussi, il n’est pas rare qu’un charpentier soit également menuisier et/ou couvreur. Les techniques de construction évoluant, il devient également un expert des charpentes métalliques. 

C’est parti, on vous dit tout de ce métier pluriel aux multiples compétences.

Le métier de charpentier

Bien évidemment, le terme de charpentier nous fait immédiatement penser à un professionnel de la charpente. Et c’est effectivement le cas. Il s’occupe de la conception et de l’installation de la charpente d’une maison, mais aussi de son entretien et sa rénovation en cas de dommages. En plus de l’assemblage des poutres et de la charpente en elle-même, il conçoit et installe également tous les accessoires de charpente tels que lucarnes ou soupentes dans le cas de travaux d’aménagement des combles.

Mais le charpentier intervient également sur différents domaines de la construction : des menuiseries courantes aux planchers en passant par les escaliers, notamment lorsqu’il est également menuisier.

Dans certains cas, il intervient aussi dans le rehaussement de toiture, lorsque les propriétaires souhaitent gagner de la hauteur sous plafond ou changer la pente du toit. 

Un métier en constante évolution

Si le savoir-faire ancestral du charpentier réside dans le travail du bois, il est cependant amené à évoluer au gré des nouvelles normes et techniques de construction ou des travaux de rénovation. Ainsi, de plus en plus de charpentiers se spécialisent dans la charpente métallique, le verre, l’aluminium, le PVC et d’autres matériaux contemporains, comme le composite et le plastique, qui entrent désormais dans la conception de la charpente.

En outre, les nouveaux matériaux écologiques impliquent d’adapter le dimensionnement de la charpente aux nouvelles spécificités et normes.

Une activité règlementée nécessitant des qualités indéniables

Il faut savoir que n’est pas charpentier qui veut. Toute d’abord, le professionnel doit posséder un diplôme (CAP, bac pro, BTS) dans le secteur de la charpente. De plus, il doit être doté de certaines qualités intellectuelles et physiques.

En effet, pour être capable de répondre à toutes les attentes en matière d’ossature du logement, le charpentier doit comprendre les plans d’architecture et estimer les mesures. Comme nous l’avons vu, il doit être d’une grande polyvalence en matière de matériaux afin de pouvoir choisir celui qui convient le mieux selon la configuration ou les plans d’architecture propres à chaque chantier. Il doit également travailler avec minutie et précision, car toutes les mesures se font au millimètre près. 

Un charpentier doit également être à l’aise avec l’informatique pour être capable d’utiliser les logiciels, et plus encore aujourd’hui avec le développement de logiciels 3D, voire 4D (les logiciels BIM). Enfin, il doit posséder des connaissances poussées en géométrie et en mathématiques, notamment pour le traçage des charpentes. Et puis, c’est évident mais il faut le dire, il faut soit être capable de faire un minimum de compta et de secrétariat, soit s’entourer pour cela (des sites comme monsecretariat.fr vous explique tout sur ce sujet).

Le métier de charpentier est donc un travail bien plus compliqué et exigeant qu’on pourrait le croire. Pourtant, cela n’a rien de surprenant quand on sait que la charpente est la pièce maîtresse qui soutient le toit d’un bâtiment ou d’une maison.

Les points de vigilance en matière de batterie à l’achat d’un scooter électrique

Le moteur d’un scooter électrique étant alimenté par une batterie, celle-ci conditionne donc son autonomie, bien que d’autres critères entrent également en jeu, comme le dénivelé de la route ou le poids de chargement du deux-roues. 

Toujours est-il que la batterie est un des composants fondamentaux pour le bon fonctionnement et la performance du scooter. Il faut donc veiller à bien choisir le modèle de scooter électrique pour que sa batterie corresponde bien à l’usage qui serait fait du véhicule.

C’est pourquoi nous vous précisons les points de vigilance en matière de batterie dans ce qui suit.

Les différents types de batteries d’un scooter électrique

 La première chose à savoir est qu’il existe deux types de batteries pour un scooter électrique : la batterie au lithium et la batterie au plomb.

Bien que le niveau de performance entre les deux modèles soit similaire, la batterie au lithium est d’une technologie plus récente. Elle possède donc des intérêts indéniables. 

Les avantages de la batterie au lithium sont qu’elle est légère (trois fois moins lourde qu’une batterie au plomb), capable de stocker plus d’énergie et sa recharge est plus rapide (2 heures pour avoir 80 % de charge contre 5 à 6 heures pour une batterie au plomb). De plus, contrairement à la batterie au plomb, elle ne subit aucun phénomène de décharge lors de sa non-utilisation. Enfin, la batterie au lithium possède une durée de vie bien plus longue.

Toutefois, elle est bien plus chère à l’achat. Son prix peut grimper jusqu’à 2000 euros contre 500 euros maximum pour un modèle au plomb.

La durée de vie d’une batterie de scooter électrique

La durée de vie d’une batterie de scooter électrique, à ne pas confondre avec son autonomie sur laquelle nous reviendrons, s’exprime généralement en nombre de cycles de recharge comme pour toutes les batteries ou piles rechargeables.

En effet, il n’est pas possible de recharger indéfiniment une batterie. La durée de vie d’une batterie au lithium est donnée pour 800 cycles, soit environ 50 000 km (à raison de 60 km d’autonomie) alors que celle d’une batterie au plomb est de 12 à 18 mois, soit environ 10 000 km.

 Il faut également savoir que les nouveaux modèles de scooter électrique disposent désormais d’une batterie au lithium, et ce pour tous les avantages précédemment mentionnés. D’autant plus que ce type de batterie est bien plus écologique et ouvre donc droit à un bonus écologique afin d’inciter l’achat d’une batterie au lithium.

L’autonomie de la batterie d’un scooter électrique

L’autonomie d’une batterie dépend d’un ensemble de facteurs, comme le type de route (en côte, voie rapide, etc.), le style de conduite, le poids de chargement, etc. Toutefois, elle varie également en fonction de la marque et du modèle. L’autonomie théorique d’une batterie de scooter électrique se situe donc entre 40 et 80 km (charge complète).

La capacité de batterie dépend de sa taille, plus elle est conséquente et plus elle dispose d’autonomie. Certains modèles sont amovibles (transportables). Pour cela, la batterie est plus petite afin d’être plus légère. Mais l’avantage est qu’il est possible de la retirer pour la recharger n’importe où, ce qui est pratique pour ceux qui vivent en appartement.

Quels sont les accessoires de déco indispensables pour un intérieur cosy ?

Une décoration cosy, ou cocooning réchauffe votre intérieur pour en faire un véritable nid douillet l’hiver, mais également un lieu où vous vous sentez bien l’été. Certains éléments de déco cosy sont indispensables et apportent immédiatement une sensation de bien-être. Fourrure, velours, plumes, objets aux couleurs tendres ou flashy, vous avez l’embarras du choix.

Zoom sur les accessoires de déco indispensables pour un intérieur cosy.

Le plaid, le best of d’une décoration cocooning

Le plaid est la pièce de déco incontournable pour une ambiance cosy, car il habille votre salon instantanément et peut même servir à vous tenir chaud l’hiver. 

Sur un accoudoir ou le dossier de votre canapé, le choix en matière de plaid est vaste : couleurs variées, fond uni ou à motif, en laine, en mailles XXL, en fourrure de polyester tout doux, en polaire, avec un aspect vison, panthère, léopard, etc., toutes les fantaisies sont permises !

Les coussins, le grand classique en matière de décoration cosy

Les coussins sont un accessoire magique et pas cher pour une décoration cosy en un claquement de doigts : sur le canapé, au sol, sur les chaises, etc., ils existent en différentes formes (carré, rectangle, rond, en cœur, etc.), de toutes les couleurs (par exemple des couleurs vives pour l’été et des couleurs plus tendres pour l’hiver), avec des motifs, etc. 

Les coussins sont des éléments qui permettent de mettre votre petite touche d’originalité à votre intérieur, de plus ils se changent simplement en fonction de vos envies et de la saison.

Pour un effet hyper cosy, n’hésitez pas sur la quantité, faites-vous plaisir !

Le tapis, une touche chaleureuse en toute saison

Pour apporter une touche chaleureuse à votre intérieur, un tapis de type fausse fourrure ou à poil long est une pièce indispensable à une décoration cosy. Comme pour les coussins ou le plaid, faites-vous plaisir, mais tout en harmonisant l’ensemble.

Des assises confortables, l’équipement incontournable à un espace détente

Canapé confortable, méridienne, pouf assorti qui pourra servir de repose-pieds, fauteuil design et cocooning ou rocking-chair, les solutions pour passer de bons moments en famille sont nombreuses. En plus d’être pratiques, ces accessoires sont décoratifs et accueillent à merveille les soirées entre amis.

L’éclairage, pour jouer avec les ambiances

Un salon cosy se doit d’être bien éclairé. En plus de l’éclairage principal, les éclairages secondaires permettent d’ajuster la lumière de la pièce en fonction de l’ambiance recherchée et de l’activité du moment.

Besoin d’idées ? Lampadaire, lampe à poser, guirlandes lumineuses, bougies, etc., une fois de plus vous avez l’embarras du choix.

Mon réfrigérateur fait du bruit, que puis-je faire ?

Même si la plupart des réfrigérateurs tendent à devenir silencieux, certains vieux modèles peuvent être particulièrement bruyants. Lorsque le problème du bruit se fait de plus en plus présent, il est nécessaire de savoir distinguer les bruits habituels du réfrigérateur de ceux qui sont quant à eux inhabituels. De même, quelques conseils simples peuvent vous permettre d’atténuer le bruit que fait un vieux frigo ou un réfrigérateur qui présente un problème inhabituel. Faisons un récapitulatif des principaux points à connaître.

Quels sont les bruits habituels du réfrigérateur ?

Un réfrigérateur n’est jamais complètement silencieux et plusieurs bruits habituels peuvent être repérés. En effet, comme cet appareil fait circuler un fluide passant de l’état gazeux à l’état liquide, il y a différentes phases du processus qui comportent leurs propres bruits :

  • le bruit du compresseur, qui s’apparente à un ronronnement ou un bourdonnement ;
  • le bruit du condenseur, que l’on peut comparer à une sorte de glouglou ou d’égouttement ;
  • le bruit du détendeur, que l’on reconnaît à son de gargouillement ;
  • le bruit de l’évaporateur, qui s’apparente lui aussi à un gargouillis ;
  • le bruit du thermostat, qui prend la forme d’un léger clic ou d’un claquement un peu plus flagrant ;
  • le bruit du dégivrage, que l’on reconnaît à son craquement, voire à son sifflement ;
  • le bruit de circulation de l’air, qui laisse entendre également un léger sifflement.

D’autres raisons peuvent impliquer du bruit venant de votre réfrigérateur, comme la réserve à glaçons si votre appareil est un frigo américain.

Comment réagir face à des bruits inhabituels du réfrigérateur ?

Si aucun de ces bruits ne justifie le problème auquel vous devez faire face avec votre réfrigérateur, il peut être nécessaire d’intervenir. C’est notamment le cas des vibrations injustifiées ou des claquements et autres couinements trop réguliers.

En fonction de votre situation, voici quelques conseils simples que vous pouvez suivre pour atténuer le bruit :

  • vérifiez que votre réfrigérateur n’est pas bancal, notamment en réglant ses pieds ;
  • isolez votre réfrigérateur du sol grâce à des patins, afin de lui épargner certaines vibrations ;
  • décollez votre réfrigérateur du mur, afin que l’air circule bien autour de lui ;
  • dégivrez régulièrement votre appareil, si celui-ci ne le fait pas lui-même, car trop de givre entraîne une sollicitation importante du compresseur ;
  • nettoyez la grille arrière de votre réfrigérateur au moins une fois tous les deux mois, dans le but d’éviter l’accumulation de poussière.

Si votre frigo est trop vieux et qu’il faut le changer, soyez écolo et choisissez votre gros électroménager selon le score carbone.

Refaire sa décoration intérieure à moindre frais, comment faire ?

Envie de renouveau à la maison, vous aimeriez métamorphoser votre intérieur et lui donner un bon coup de jeune. Bonne nouvelle, désormais la décoration est de plus en plus accessible, si bien que de nombreuses solutions et astuces existent pour relooker rapidement et facilement sa décoration.

Qui plus est, il est aujourd’hui tout à fait possible de refaire sa déco d’intérieur à moindres frais. Comment ? Voici nos conseils pratiques à petits prix.

Refaire sa décoration intérieure à moindres frais : déplacer le mobilier

Refaire la décoration de sa maison passe aussi par le réagencement des pièces. Cette simple démarche (gratuite) permet un véritable dépaysement. De plus, c’est l’occasion de faire un ménage de printemps dans les endroits inaccessibles jusque-là, comme l’arrière et le dessous de meubles. 

Refaire sa décoration intérieure à moindres frais : rénover un mur

Rafraîchir les murs de sa maison donne instantanément une nouvelle allure à votre intérieur. 

Pour cela, vous pouvez opter pour de la peinture ou la pose d’un papier peint, il existe de nombreux modèles unis ou avec des motifs originaux. Nul besoin de repeindre toute la pièce, un pan de mur ou une cloison suffit à changer l’aspect de votre pièce. 

Veillez toutefois à choisir la peinture adaptée à la pièce, la cuisine et la salle de bain étant des pièces humides, contrairement à la salle à manger ou une chambre.

Refaire sa décoration intérieure à moindres frais : relooker un meuble

Pas toujours facile de changer de meubles lorsque l’on a un petit budget. Nous avons l’astuce idéale pour vous : le relooking de vos propres meubles. 

Pour cela, rien de plus simple, il vous suffit de poncer votre meuble s’il est en bois, ou d’appliquer un apprêt (sous-couche) adapté au type de surface, et de le peindre de la couleur de votre choix. Vous pouvez aussi changer les poignées des façades, il en existe de toutes les formes et couleurs.

Refaire sa décoration intérieure à moindres frais : acheter du linge de maison

Le linge de maison permet de tout décorer à petits prix, si bien que vous pouvez changer de style aussi souvent que vous le souhaitez !

Coussins, rideaux, nappe, plaid, housse pour canapé, tapis de sol, le plus compliqué sera de faire un choix parmi l’ensemble des produits existants, car désormais, il y en a pour tous les goûts (couleur, fond uni ou à motif, forme, etc.).

Refaire sa décoration intérieure à moindres frais : privilégier les accessoires déco

De nombreux accessoires déco existent aujourd’hui, ils permettent d’apporter votre touche personnelle ainsi que votre univers à votre intérieur : luminaires originaux, plantes, bougies, stickers sur les murs, miroirs, tableaux, etc.

Redonner un coup de jeune à sa hotte aspirante

Parmi les différents éléments de la cuisine, la hotte est bien souvent l’équipement le plus imposant visuellement. Si vous ne supportez plus votre cuisine et que vous envisagez un relooking complet de celle-ci, vous allez notamment être obligé de redonner un petit coup de jeune à votre hotte si vous ne souhaitez pas la changer. Sans vous lancer dans de grands travaux, et afin d’éviter des dépenses importantes, voici quelques astuces pour lui donner une seconde vie.

Assurer le nettoyage de la hotte

Avant de commencer votre relooking, il est nécessaire de nettoyer la hotte pour que celle-ci brille de mille feux. Dans cette optique, voici la procédure que vous pouvez suivre avant de passer aux autres étapes :

  1. Préparez une bassine d’eau très chaude ;
  2. Enlevez les filtres de votre hotte et plongez-les dans la bassine ;
  3. Ajoutez du bicarbonate de soude sur le tout et laissez agir pendant au moins une heure ;
  4. Nettoyez la hotte pendant que les filtres trempent, de préférence avec de l’eau savonneuse, ou du vinaigre blanc si l’odeur ne vous dérange pas ;
  5. Retournez les filtres au bout d’une heure, afin de faire tremper également toutes les parties qui n’ont pas été immergées, et laissez agir de nouveau pendant 60 minutes ;
  6. Nettoyez les filtres lavés avec une brosse et rincez-les à l’eau claire ;
  7. Laissez sécher les filtres à l’air libre avant de les remettre en place dans la hotte.

À ce stade, votre hotte est toute propre et prête à être relookée dans les meilleures conditions possible. Vous aurez peut-être besoin de changer les parties trop abimés, pour ça direction Spareka qui vend toutes sortes de pièces électroménager.

Relooker une hotte avec un peu de peinture

Pour votre relooking de hotte, le plus simple reste de lui donner un petit coup de jeune grâce à un peu de peinture, car celui-ci suffira à changer considérablement la déco de votre pièce et de cet équipement. Il en va d’ailleurs de même pour une hotte de cheminée, si le changement de décoration se déroule dans votre salon.

En fonction du métal de votre hotte, il peut être nécessaire d’appliquer une sous-couche pour métaux non ferreux, comme c’est le cas pour l’aluminium, le cuivre, ou le zinc. Ensuite, vous pouvez choisir une peinture acrylique ou glycéro, même si cette dernière semble plus appropriée car lessivable, qu’elle soit satinée ou brillante. Munissez-vous d’un rouleau laqueur pour peindre votre hotte et assurez-vous de bien laisser sécher avant toute utilisation.

Installer des toilettes suspendues

Le WC suspendu, c’est LA grande tendance du moment. Installé grâce à un bâti-support encastré dans le mur ou fixé au sol, le châssis est recouvert d’un habillage et seule la cuvette est apparente. Louées pour leur esthétisme, leur gain de place, leur confort (plus silencieux et hauteur réglable), et leur facilité d’entretien, est-ce que ces toilettes sont un bon choix ?

Que faut-il savoir avant de vous lancer ?

Faisons le point sur quelques points importants avant toute installation de WC suspendu.

  • L’évacuation :

Les toilettes suspendues nécessitent une évacuation au sol ou murale, sachant que pour une rénovation, il faut souvent adapter celle des anciennes toilettes, générant de possibles travaux supplémentaires et un prix plus élevé.

  • La nature du support :

De la nature du support dépend le type de bâti à utiliser. Ainsi, un bâti en applique n’est possible que sur un mur porteur, sinon un WC autoportant doit être privilégié afin que le poids repose au sol. De plus, si ce même sol est en bois, il nécessite un renforcement pour rendre l’installation possible.

  • L’alimentation en eau :

Il faut amener l’eau à hauteur du réservoir, grâce à un simple flexible qui permet de faire la jonction, ou avec un raccord en cuivre pour les plus motivés.

Est-ce que le gain de place est réel ?

Oui et non. Le bâti-support fait 12 cm de profondeur, auquel se rajoutent environ 3 cm de cloison, et la cuvette fait 55 cm de profondeur. Cela fait donc 70 cm au total, contre 70 cm pour des toilettes standard. Certes, il est possible de récupérer une dizaine de centimètres avec un bâti moins volumineux et une cuvette plus courte, mais le gain de place reste négligeable.

Comment installer un WC suspendu ?

Pour l’installation de toilettes suspendues, beaucoup de marques et modèles sont disponibles, sans parler du temps de main d’œuvre à connaître.

  • Les modèles et marques :

Grohe, Geberit, Villeroy, Bosch… Le choix des modèles est vaste. Si les prix sont variés, ils dépendent principalement des marques, du niveau de finition, de la facilité de montage et de certaines pièces. Alors que les toilettes sont généralement vendues en pack prêt à installer, Geberit propose par exemple des solutions intéressantes pour les situations particulières, comme la pose à l’étage (quand le revêtement au sol ne permet pas l’autoportant), la pose des toilettes dans un angle, ou la pose en îlot, très en vogue. Il existe aussi des bâti-supports moins hauts, qui permettent d’installer les WC suspendus sous une fenêtre.

  • Le prix :

L’achat d’un WC suspendu revient plus cher, soit entre 100 et 800 euros (sans compter la pose).

  • L’installation :

Poser des toilettes suspendues est à la portée de tout bricoleur, à condition de savoir lire un guide de montage et de connaître les bases de plomberie. Vous pouvez aussi faire appel à un professionnel dont les prix varient en fonction du type de projet, rénovation ou construction neuve, mais aussi du degré de finition et des matériaux souhaités. Demandez des devis !

  • Pour une construction neuve, il faut compter quelques heures d’installation.
  • Pour une rénovation, une bonne journée est requise, avec le dépôt des anciennes toilettes et les adaptations diverses. Dans ce cas, un WC autoportant sera plus facile à installer, mais aussi plus cher.

Toute réparation ou maintenance sur des WC suspendus est plus laborieuse, la faute à un accès au mécanisme plus complexe. Évitez donc les modèles bas de gamme, qui sont moins chers à l’achat, mais plus sensibles aux pannes.

Quelle puissance pour une perceuse sans fil ?

En matière de perceuse, l’offre sur le marché se compose de très nombreux modèles, ce qui peut rendre difficile votre choix avant achat. Pour bien choisir votre outil, il est donc nécessaire de savoir à quelle fréquence vous allez l’utiliser ou encore pour quel type de travaux de bricolage. Selon les réponses à ces questions, la perceuse recommandée ne sera pas nécessairement la même. Mais alors, comment trouver la perceuse de vos rêves ? Et quelle doit être sa puissance ? On vous dit tout sur ce domaine complexe.

Quels sont les différents types de perceuses ?

Sur le marché des perceuses, on recense 4 principaux appareils, dont les caractéristiques peuvent être amenées à changer, même si le but principal reste de percer :

  • la perceuse visseuse, un outil 2 en 1 bien pratique pour visser et dévisser rapidement ;
  • la perceuse à percussion, idéale pour percer des matériaux durs, comme du béton, du métal ou de la brique ;
  • la visseuse angulaire, parfaite pour les zones en hauteur ou les recoins de meubles ;
  • la visseuse, qui se limite à l’assemblage de meubles, mais ne peut guère remplir de plus gros travaux de bricolage.

À noter que toutes ces perceuses peuvent être sans fil ou filaires, même si choisir une perceuse à batterie semble être le meilleur choix. Toutefois, malgré son autonomie et sa maniabilité, la perceuse sans fil connaît quelques limites, notamment pour un matériau dur. Si certains modèles peuvent permettre de passer cette difficulté, elle n’est toutefois pas réputée pour sa grande puissance. Selon votre situation, il peut être plus approprié de choisir une perceuse filaire, car celle-ci bénéficie d’une alimentation sur secteur et se dote donc d’une puissance bien plus importante. Cette dernière est même recommandée pour tous les matériaux durs et tous les travaux intensifs.

Quelle doit être la puissance de la perceuse ?

La puissance de la perceuse est sans aucun doute le critère essentiel qui doit dicter votre choix. Plus une perceuse est puissante, plus elle fournira un service rapide et efficace. En fonction de vos besoins, vous devez donc savoir faire la distinction entre une puissance démesurée et une puissance utile.

De manière générale, la puissance d’une perceuse va de 500 W jusqu’à plus de 1200 W en fonction des modèles. Néanmoins, la fourchette idéale se situe entre 700 et 1000 W, notamment s’il s’agit de travaux occasionnels. Pour un usage professionnel ou intensif, choisissez plutôt une perceuse de 1200 ou 1300 W, tout en faisant attention à la tension électrique. À ce titre, 18V est plus que recommandé pour une bonne puissance, alors que 12V peut suffire pour des travaux légers.